Article Presse : Les Infos Du Pays Gallo 2023
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Article Presse : Le Particulier Mars 2023
Article Presse : Ouest France 16/12/2022
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Article Presse : Ouest France 25/11/2022
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Article Presse : Ouest France 11/2022
Depuis sa chute silence du Promoteur...
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Pas de Lyrisme : Des Chiffres
Dans son appel de St-Nazaire, notre Président a fait preuve d'un bel optimisme pour nous présenter sa vision de notre consommation énergétique d'ici 2050 (soit 28 ans : une génération).
Il a martelé que nous devions impérativement réduire notre consommation énergétique, au cours de ces 28 prochaines année de 40% et ce, par la réduction de notre consommation d'énergies fossiles carbonées et hydrocarbonées (charbon, pétrole et gaz).
Nous ne pouvons qu'applaudir.
Mais, l'énergie est intimement liée à la consommation. Pas de consommation sans énergie.
Réduire de 40% notre consommation d'énergie fossile revient, pour nous français, à réduire notre consommation de 1.142 Térawattheures, puisque notre consommation totale primaire a été, en 2021, de 2856 Térawattheures (2856 X 0,40 = 1142).
Dans l'hypothèse ou, sur ce laps de temps, notre population et notre croissance demeureraient stables (c’est à dire =O) et que les 1.142 Térawattheures devaient être remplacés :
1) totalement par de l'éolien terrestre de 2Mw de puissance installée par mât, il faudrait élever 296.620 mâts sur notre territoire, soit 1 mât chaque 2km2 de la France. Ou, dit différemment, multiplier notre parc actuel de 8000 mâts par un facteur 37. La France devenant alors un véritable hérisson!!!!
2) pour moitié par de l'éolien terrestre de 2Mw, il faudrait sur notre territoire élever 148.310 mâts, soit 1 mât tous les 4km2. Ou exprimé différemment multiplier notre parc actuel par un facteur 18, 5.
3) en totalité par de l'éolien offshore de 6Mw (puissance de chaque éolienne du parc inauguré ce jeudi), il faudrait encore la bagatelle de 49.400 mâts, soit 618 parcs de la taille du parc de St Nazaire
4) pour moitié par de l’éolien offshore, il faudrait encore 24.700 mâts soit 309 parcs de la taille de celui de St Nazaire. Rappelons que le Président n'envisage que 50 parcs.. Où mettrait-il les 259 autres parcs offshore ?.
Nous pouvons jouer aux multiples combinaisons possibles. Nous aimerions les scénarios et les hypothèses.
Naturellement, nous pouvons envisager que la moitié des chiffres ci-dessus soient eux même réduits de moitié, mais alors, il faut dire où nous mettrons les milliers de km2 de panneaux solaires qui produiront l’énergie photovoltaïque remplaçant l’énergie éolienne concernée.
Il ne faut pas compter sur l’hydraulique terrestre, les localisations potentielles futures étant minimes.
Il en est de même de la biomasse qui, soit produit du CO2 (combustion du bois de chauffage), soit nécessite beaucoup d’énergie pour sa seule production, indépendamment des espaces agricoles requis pour leur production. Le delta énergétique n’étant en pratique que de 15%., à savoir pour 100 kwh produits il faut dépenser 85 kwh.
Quant au nucléaire, les nouvelles centrales ne feront que remplacer les défaillantes d’aujourd’hui, à bout souffle.
Il ne nous restera donc qu’à consommer moins, passant de l’opulence d’aujourd’hui, à la simple abondance demain, et aux restrictions inévitables après-demain.
Un changement radical dans nos modes de consommation et de vie futurs devient inévitable
Car, pas de consommation sans énergie pour la produire.
René LEBLANC Octobre2022
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Article Presse : Les infos de Redon 26/07/2022
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Article Presse : Ouest France 08/07/2022
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TF1: Les éoliennes dévaluent bien l’immobilier.
La Fédération Environnement dénonce l’étude de l’ADEME
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